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Dominik Szoboszlai raconte son capitanat et les espoirs de la Hongrie

«Je veux que l'on passe cette phase de groupes», annonce le milieu de terrain de la Hongrie alors qu'il prépare l'UEFA EURO 2024.

Dominik Szoboszlai attend avec impatience sa première phase finale de l'EURO
Dominik Szoboszlai attend avec impatience sa première phase finale de l'EURO UEFA via Getty Images

Dominik Szoboszlai deviendrait le plus jeune capitaine de l'histoire du Championnat d'Europe de l'UEFA s'il porte le brassard contre la Suisse le 15 juin. Le milieu de terrain de Liverpool, âgé de 23 ans, qui a remporté des titres nationaux avec Salzbourg et Leipzig, compte montrer l'exemple, non seulement face à la Nati, mais aussi contre l'Allemagne et l'Écosse dans le Groupe A.

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Dominik Szoboszlai sur la qualification de la Hongrie pour un troisième EURO consécutif

Je pense que c'est un événement majeur que nous nous soyons qualifiés pour notre troisième EURO consécutif. J'étais trop jeune lors du premier, malheureusement, et je n'ai pas pu jouer au second, alors j'espère avoir l'occasion de participer au troisième. J'espère également que nous pourrons jouer dans toutes les grandes compétitions, pas seulement l'EURO, mais aussi la Coupe du Monde. La qualification en Bulgarie a été un énorme poids qui s'est envolé. Je suis heureux de pouvoir être capitaine à l'EURO, et j'aimerais que nous restions invaincus.

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On n'a pas tellement de pression. On n'est pas parmi les favoris, mais nous sommes sur la bonne voie. Nous faisons tout ce que nous pouvons pour nous préparer sur le plan collectif. Nous avons suffisamment de temps pour nous préparer. Je veux vraiment passer la phase de groupes, comme tous les autres joueurs. Mais nous devons admettre que nous sommes dans un groupe très relevé.

Dominik Szoboszlai sur ce qu'à changé le capitanat

Je pense que j'ai plus évolué en tant que personne que comme joueur. J'essaie de surveiller tout, d'être un modèle et d'aider en cas de besoin. Mais nous sommes tous là les uns pour les autres. Il n'y a pas de favoritisme. Je ne suis pas et je ne veux pas être différent des autres. Certains d'entre eux m'ont donné des conseils - par exemple, Szala (Ádám Szalai) et Gula (Péter Gulácsi). Lorsque j'ai eu des questions, ils m'ont aidé. Mais je n'ai même pas eu à demander parce que, dès que mon capitanat a été annoncé, ils ont essayé de m'aider d'eux-mêmes. Être le capitaine d'une équipe nationale est différent d'être le capitaine d'un club. Donc, je n'ai pas vraiment parlé de cela avec (Virgil) Van Dijk, même s'il est le capitaine de l'équipe nationale néerlandaise. Je peux toujours demander de l'aide à mes prédécesseurs ou à Gula à Leipzig.

Dominik Szoboszlai sur l'importance d'un bon départ et les adversaires de la Hongrie dans le groupe

C'est important pour chaque équipe [de bien commencer]. La Suisse pensera également qu'un bon début l'aidera beaucoup. Nous verrons qui en veut le plus. J'ai vu l'équipe allemande. Je pense que c'est une très bonne équipe. Certains de mes coéquipiers ont également été sélectionnés et Nagelsmann est mon ancien entraîneur. Ce sera un bon match, j'ai hâte. J'espère que (le match contre l'Écosse) ne sera pas crucial. Nous aurons à cœur de prouver à tout le monde que nous avons quelques bons tours dans notre sac. Si c'est crucial, alors nous aurons la bonne mentalité. J'ai parlé à Robbo (son coéquipier de Liverpool, Andrew Robertson), mais je ne veux pas donner de détails.

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